Concernant la recommandation sur le placement et la détention des demandeurs de protection internationale, les discussions se poursuivaient au niveau européen.
Rien ne justifie le meurtre de personnes protégées au motif qu'on soupçonne qu'elles se sont livrées, ou qu'elles se livreront, à des activités terroristes.
La Constitution fait du juge le gardien des libertés individuelles et collectives et le rempart contre l'arbitraire et l'injustice dont peuvent être victimes les citoyens.
Nous attendons, répondit-elle, un gendarme qui est allé prévenir monsieur Duroc, en qui nous trouverons un protecteur pour pouvoir parler à l'Empereur.