C'est cette philosophie de base qui devrait sous-tendre notre réforme. Et c'est dans cet esprit que nous devrions pouvoir préserver l'humanité au XXIe siècle.
En raison des souffrances indicibles infligées aux populations civiles, un système des Nations Unies du XXIe siècle ne peut pas continuer d'approuver l'imposition de sanctions.
Au XXIe siècle, le droit à l'autodétermination et à l'indépendance doit continuer avec dignité de compléter les approches déjà reconnues pour résoudre les problèmes fondamentaux.
Nous avons besoin d'un Conseil de sécurité qui permette à la communauté internationale de relever efficacement les défis qui se posent au monde du XXIe siècle.
Alors que les siècles précédents ont été caractérisés par la révolution industrielle, une révolution de la puissance, le XXIe siècle sera caractérisé par une « révolution cérébrale ».
Les partenariats mondiaux et régionaux visant à promouvoir un changement sont le moyen irremplaçable de s'attaquer aux défis auxquels le monde sera confronté au cours du XXIe siècle.