Les mineurs, comme les poussières négligées par tous, ne manisfestant pas de visages claires, sont tellement fragiles dans une condition de vie tellement sévère.
Nous pensions, en toute logique, qu'il était préférable d'accueillir ces personnes dans les zones de rassemblement, de les protéger et de les empêcher de participer à des atrocités.
Pour notre part, nous pensions tout simplement qu'il fallait recueillir ces personnes et les protéger contre les attaques et, évidemment, veiller à ce qu'elles n'aillent pas au Burundi pour y commettre des atrocités.
Il renaudait à propos de tout, renâclait sur les potées de pommes de terre, une ratatouille dont il ne pouvait pas manger, disait-il, sans avoir des coliques.