Les clauses inconditionnelles sont devenues la pierre angulaire du régime institué par l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT).
Le Gouvernement japonais a soumis des propositions concernant les articles VIII et X du GATT, soulignant les avantages de la facilitation des échanges.
L'ancien modèle du GATT donne un exemple du type de coopération limitée visant à éliminer l'intrusion de l'État (tarifs et restrictions quantitatives).
L'initiative était axée sur l'élimination de la progressivité des droits de douane et sur une clarification des règles du GATT concernant la stabilisation des prix.
Les institutions financières de Bretton Woods et le système du GATT se sont ainsi dissociés du système des Nations Unies pour devenir des entités autonomes.
En tant que membres du GATT, les États-Unis et l'Ouganda avaient l'obligation de n'introduire, dans leurs relations économiques, ni restrictions générales à l'exportation ni quotas.
Il fallait alors protéger résolument les industries locales et il n'y avait guère pénurie d'arguments en faveur du traitement spécial et différencié dans le cadre du GATT.
L'adhésion de mon pays à l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) et à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a encore exacerbé les problèmes urbains.
En vertu de l'article premier du GATT, le traitement NPF devait être accordé «immédiatement et sans condition» à la frontière aux produits en provenance du territoire d'autres parties contractantes.
Il a toutefois été rappelé que des 124 accords de commerce régional notifiés à l'Accord général sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT), 48 seulement étaient encore en activité.
En juillet 2011, l'UE avait déposé plainte contre la Chine dans ce dossier devant l'OMC, arguant que Beijing ne respectait pas les règles du GATT et du commerce international en instaurant de telles taxes.