Beaucoup des catastrophes associées à des cataclysmes naturels, en particulier des inondations, accroissent le risque de maladies d'origine hydrique et autres.
Aujourd'hui encore, 60 ans après le cataclysme, il est difficile de trouver des mots pour exprimer les souffrances, la douleur et l'humiliation des victimes.
La réponse internationale aux cataclysmes de la nature est devenue plus convaincante par une meilleure préparation et une gestion civile adéquate des crises.
Ces deux dernières années, nous avons été témoins de cataclysmes naturels qui ont causé de grandes pertes en vies humaines et la destruction de l'infrastructure.
Les effets combinés dus au passage successif de ces cataclysmes ont causé d'importants dégâts matériels sur les infrastructures agricoles, sanitaires, scolaires, publiques et des pertes en vies humaines.
Il est temps de prendre des décisions importantes pour éviter que de tels cataclysmes ne se reproduisent ou pour réduire au minimum les ravages causés par de futures catastrophes naturelles.
Nous ne devons pas attendre que de nouveaux cataclysmes ou de nouvelles tragédies à grande échelle surviennent pour nous mettre d'accord sur la nécessité d'édifier une ONU renouvelée pour le nouveau siècle.
C'est grâce à la diversité - la reconnaissance, le respect et l'encouragement de la diversité - que la communauté des nations peut éviter le genre de cataclysmes qu'elle a connus au cours du XXe siècle.
De nos jours, l'aide humanitaire prend une importance croissante et l'on voit se former des chaînes d'aide lors de catastrophes, de cataclysmes naturels et, en particulier, de crises politiques et d'éruptions de violence.
Les colons avaient voulu lutter contre cet envahissement, ils l’avaient essayé, mais follement et inutilement, car l’homme est désarmé devant ces grands cataclysmes.
Par comparaison avec les cataclysmes ayant détruit les civilisations plus anciennes, nous avons été avertis bien plus tôt de l'imminence de cette catastrophe.
C’était le terrifiant vacarme des cataclysmes intérieurs, un coin de la bataille ancienne, lorsque les déluges retournaient la terre, en abîmant les montagnes sous les plaines.
Les habitants, dans leurs chambres assombries, avaient l'affolement que donnent les cataclysmes, les grands bouleversements meurtriers de la terre, contre lesquels toute sagesse et toute force sont inutiles.
On peut parler de “petit âge glaciaire”, mais alors dans ce cas, pourquoi pas aussi de “cataclysme sympa”, ou de “fin du monde relativement soft ” ? Bref !