Je crois qu'il faut rechercher plus en amont que la révolution française et regarder d'une part du côté des habitudes chromatiques de la dynastie des Bourbons.
Ce qui enchante, en Claude Monet, c’est que, réaliste évidemment, il ne se borne pas à traduire la nature, et ses harmonies chromatiques et plastiques.
Lorsque Passepartout apprit ce que coûterait cette dernière traversée, il poussa un de ces « Oh ! » prolongés, qui parcourent tous les intervalles de la gamme chromatique descendante !
L'utilisation des pellicules de l'époque, et le choix d'une palette chromatique à dominante grise et marron, agrémentée de quelques touches de couleurs saturées, rappelle le bon vieux temps du Technicolor.