Dans chaque maison, le feu ne refroidissait pas, chargé de houille, empoisonnant la salle close. C’était encore une saison de grande misère qui commençait.
Dans ce redoublement de tumulte, une poussière montait du parquet, la poussière volante des anciens bals, empoisonnant l’air de l’odeur forte des herscheuses et des galibots.