Sans mâle et sans douleur, notre Héroïne Versace, aidée par trois pensionnaires d’Anaïs, enfante artificiellement une petite fille aseptisée : son clone par lequel elle devient immortelle.
Une éternelle continuité dans les œuvres artistiques qui prouvent bien que ses dernières sont plus immortelles que les paroles d'un simple président...
Chez les filles de l’air, répondirent les autres. La sirène n’a point d’âme immortelle, et elle ne peut en acquérir une que par l’amour d’un homme ; sa vie éternelle dépend d’un pouvoir étranger.