La situation en Afrique est particulièrement préoccupante parce qu'elle est aggravée par le syndrome d'immunodéficience acquise (sida) et d'autres maladies endémiques.
La République d'Ouzbékistan estime que le syndrome de l'immunodéficience acquise est un problème moral, économique et social dont le règlement exige des efforts considérables.
Aujourd'hui, on estime que plus de 45 millions de personnes sont infectées par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), dont 95 % vivent dans les pays en développement.
Le nombre de nouveaux cas de syndrome de l'immunodéficience acquise (sida) s'est stabilisé à une moyenne de 4 100 cas par an au cours des cinq dernières années.
L'accélération de la propagation du virus de l'immunodéficience humaine et l'accroissement des cas de syndrome d'immunodéficience acquise ont conduit à une épidémie sans précédent de proportions mondiales.
La famine et les maladies telles que le cancer, la malaria, et le syndrome de l'immunodéficience acquise (sida) continuent de menacer la vie de millions de personnes.
Or cela n'est pas faisable si la communauté internationale ne parvient pas à empêcher le virus de l'immunodéficience humaine (VIH) ou la famine de gagner du terrain.
D'autres projets sont menés avec le soutien des agences de l'ONU, notamment pour la lutte contre le syndrome d'immunodéficience acquise (sida) et la prise en charge des malades.
Aucun membre du personnel médical ni aucun patient ne peut faire l'objet de discrimination en raison d'une infection avérée ou soupçonnée par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH).
Grâce au traitement antirétroviral en association, le syndrome d'immunodéficience acquise se transformera lentement en une maladie chronique, ce qui entraînera un changement dans l'ampleur des activités des associations d'aide.