La médicalisation et la paramédicalisation des mutilations génitales féminines ou de la scarification doivent faire l'objet de dispositions nécessaires à leur éradication totale.
Cependant, la “médicalisation” de la peine capitale soulève la question de la mesure dans laquelle des médecins devraient être impliqués dans le processus d'exécution.
L'OMS a continué de coopérer avec des associations professionnelles comme la Fédération internationale des obstétriciens et gynécologues pour dénoncer la médicalisation des mutilations génitales féminines.
En Asie du Sud-Est, le bureau régional collabore avec le Ministère indonésien de la santé afin de répondre aux préoccupations que suscite la médicalisation croissante de cette pratique.
Toutes les naissances ont lieu à l'hôpital général, ce qui permet une médicalisation de toutes les naissances et minimise les conséquences de complications éventuelles pour la mère et pour l'enfant.