Souvenons-nous que c'est l'attachement aux idéaux de liberté et d'humanisme qui a rassemblé les nations du monde dans leur lutte commune contre le nazisme.
Toute autre évaluation des actes qu'ils ont commis pendant la Deuxième Guerre mondiale constituerait une insulte à la mémoire des millions de victimes du nazisme.
De par sa contribution héroïque à la victoire sur le nazisme, l'Ukraine a mérité le droit de faire partie des fondateurs de l'Organisation des Nations Unies.
Voilà pourquoi l'ONU et le Conseil de sécurité doivent être les principaux coordonnateurs de la coopération internationale dans la lutte contre la terreur, successeur idéologique du nazisme.
Il y a 60 ans, le monde découvrait le vrai visage du nazisme à travers la libération du camp de concentration d'Auschwitz, site d'un crime effroyable contre l'humanité.
Il est inacceptable que les autorités estoniennes cherchent à marginaliser ce mouvement, à en effacer le souvenir et à faire passer pour occupants ceux qui ont triomphé du nazisme.
Jusqu'à ce jour, et avec une douleur toujours aussi forte, les Bélarussiens se souviennent des victimes qui ont donné leur vie au nom de la victoire sur le nazisme.
L'odieuse idéologie du terrorisme a beaucoup en commun avec le nazisme. On ne peut efficacement combattre ce mal du vingt-et-unième siècle que si la communauté internationale unit ses efforts.
Les crimes du nazisme et son effondrement sont un formidable avertissement pour tous ceux qui ravivent le feu des tensions ethniques et oublient les enseignements de la Seconde Guerre mondiale.
Désintox a pu accéder à l’entièreté du discours de Paul-Marie Coûteaux, qui est en fait une critique de la modernité... dont le nazisme serait un aboutissement, selon lui.
Dans le Figaro, on lit que des descendants de juifs chassés d'Allemagne par le nazisme se battent pour reprendre un passeport allemand et réparer une histoire volée.