1.Il reste que ce traitement se heurte actuellement à une résistance croissante et généralisée du parasite plasmodium falciparum à la sulfadoxine-pyriméthamine.
2.On considère à présent que les polythérapies à base d'artémisinine sont le traitement le plus efficace pour lutter contre le paludisme à plasmodium falciparum sans complications.
3.Plus de la moitié des quelque 50 millions de femmes qui tombent enceintes chaque année dans des pays où le paludisme est endémique vivent dans les régions tropicales de l'Afrique, où la transmission du plasmodium falciparum est importante.
4.Cette réduction résulte des efforts d'intervention entrepris par le personnel sanitaire sur les territoires les plus exposés à la transmission, en particulier ceux où la population ne peut facilement accéder aux services de santé et où les indices du paludisme par Plasmodium falciparum sont les plus élevés.
4.Donc, c’est une polythérapie comme tout le monde appelle de ses vœux puisque, quand on met une seule molécule qui attaque donc un plasmodium, on sait que ça va être résistant.
5.Eh bien les anti-malariens aussi, en fait, année après année, en fait, les plasmodiums deviennent résistants à certaines molécules et on les abandonne, comme la Nivaquine : la chloroquine, on l’utilise plus et c’est comme ça tous les cinq, dix ans.