L'objectif est de concilier l'impératif de la primauté du droit et les exigences politiques pour prévenir tout risque de réversion du processus de paix.
Les cotisations au régime de pension de réversion sont payées par l'employé et l'employeur à parts égales et représentent 1 % de la rémunération de l'employé.
Si un veuf ou une veuve ayant droit à une pension de réversion se remarie, il ou elle reçoit une somme forfaitaire représentant les allocations d'un an.
2 Ces dispositions légales ont eu pour conséquences de "geler" pour l'avenir le montant de ces indemnités et d'empêcher leur conversion en pensions de réversion pour les veuves des bénéficiaires.
Une préoccupation similaire existe pour la perception de la pension de réversion de la femme salariée admise à la retraite, à son décès pour le veuf ou ses enfants orphelins.
Cela veut dire que les retraités qui ne laisseront pas de survivants derrière eux peuvent encaisser la pension de réversion (égalité de traitement pour les personnes mariées et les célibataires).