La surexploitation des ressources marines biologiques due à la surpêche continue d'être un sujet de vive préoccupation pour la communauté internationale.
Le Gouvernement du Canada a récemment fait des investissements considérables pour mettre en œuvre une nouvelle stratégie fédérale de lutte contre la surpêche.
Si l'on considère les stocks pour lesquels on dispose de renseignements, la surpêche paraît généralisée et la majorité des stocks sont pleinement exploités.
Au Canada, nous mettons actuellement en place une stratégie en vue d'améliorer la coopération internationale dans la lutte contre la surpêche en haute mer.
Nous demeurons donc préoccupés lorsque nous constatons que nos océans et nos mers continuent d'être pollués et de faire l'objet d'une surpêche et d'une surexploitation.
Mais les mesures en vue d'empêcher la surpêche, y compris les choix difficiles qui donneront véritablement vie à ces engagements, commencent toutefois sur notre propre sol.
En outre, les stratégies de survie ont entraîné une surpêche, les Palestiniens s'étant tournés vers l'exploitation des ressources marines après avoir perdu leur emploi en Israël.
Alors que les États membres de l'Organisation mondiale du commerce collaborent à atteindre cet objectif, il est primordial d'éliminer les mesures incitatives qui encouragent la surpêche.
La perte de terres arables, la pénurie d'eau, la surpêche, la déforestation et la dégradation des écosystèmes sont autant d'obstacles de taille à un développement durable.
Dans le cas de la pêche, une adhésion universelle aux instruments internationaux dans ce domaine est une condition nécessaire pour une éventuelle réduction de la surpêche mondiale.
Le pillage des eaux somaliennes dans l'océan Indien et la mer Rouge par des centaines de navires de différents pays pourrait entraîner la surpêche et l'épuisement des stocks de poisson.
En ce qui concerne les facteurs qui limitent la contribution des pêches au développement durable, la pêche illégale, non déclarée et non réglementée et la surpêche demeurent le principal problème.
Cependant, la dégradation constante des écosystèmes côtiers et marins qui résulte des activités humaines menées à terre et de la surpêche en mer reste pour nous une grande source de préoccupation.
Bien que trop souvent négligée dans la campagne contre la pêche illégale, non déclarée et non réglementée, la surpêche institutionnalisée est une question qu'il importe tout autant, sinon plus, de régler.
Elle s'ajoute aux autres pressions humaines déjà dangereuses, comme la surpêche, la pollution, la bétonisation des côtes ou le transport maritime à outrance.
Elle accueille des milliers d'espèces différentes de poissons, de mammifères marins et d'oiseaux, mais avec le réchauffement climatique et la surpêche, l'archipel est en danger.
La surpêche de certains prédateurs entraîne elle aussi de nombreux problèmes, notamment à travers le dérèglement des chaînes alimentaires, ceci conduisant à la prolifération d'espèces problématiques pour le corail.
Déjà menacés par le réchauffement climatique, l'acidification et la surpêche, une étude publiée samedi par l'Union internationale pour la conservation de la nature révèle qu'ils souffrent aussi d'une perte en oxygène.
Ces animaux qui vivent entre l'eau douce et l'eau salée ou entre l'amont et l'aval des rivières subissent la surpêche, la pollution des cours d'eau, et la destruction de leur habitat naturel.
Objectif trouver comment passer de 8 % des aires marines protégées à 30 % en sept ans. Un pari fou mais nécessaire pour sauver les écosystèmes marins confrontés à la surpêche, à la pollution et au changement climatique.