Au Timor oriental, l'ONU a non seulement dû maintenir la paix mais rétablir des systèmes sociaux entiers et des institutions provisoires à partir de rien.
Avec sagesse et bonne volonté et avec le soutien de l'ensemble de la communauté internationale, il est possible de rétablir la confiance et de recommencer.
Il ne fallait pas que cette décision puisse laisser entendre qu'une organisation suspendue devait, pour être rétablie dans son statut, recommencer à zéro la procédure de demande.
Dès les tout débuts, Kdadalak a appuyé l'esprit de réconciliation, parce qu'il estime que seul le dialogue peut développer la confiance au sein de la population timoraise.
Le Comité a toutefois constaté que chaque entité de l'Organisation avait tendance à travailler de façon autonome, produisant ses propres données et analyses à partir de zéro.