Tous ces détails, que nous mettons ici à nu pour l'édification du lecteur, étaient tellement couverts par la rumeur générale qu'ils s'y effaçaient avant d'arriver jusqu'à l'estrade réservée.
Vers dix heures, quand les boutiques étaient fermées, la rue était très déserte et tranquille, malgré les sourds grondements de Londres tout à l'entour.
Le fracas était inexprimable ; une fumée enfermée et brûlante faisait presque la nuit sur ce combat. Les mots manquent pour dire l’horreur arrivée à ce degré.
Je me sentais un peu malade et j'aurais voulu partir. Le bruit me faisait mal. Mais d'un autre côté, je voulais profiter encore de la présence de Marie.
Le jour finissait et c'était l'heure dont je ne veux pas parler, l'heure sans nom, où les bruits du soir montaient de tous les étages de la prison dans un cortège de silence.
Il était neuf heures à peu près, j’avais entendu quelque bruit dans la rue et je désirais savoir ce que ce pouvait être, lorsqu’en m’approchant de ma porte je m’aperçus qu’on cherchait à entrer.
Les deux hommes ont fini par parler l’un sur l’autre dans une incroyable cacophonie, le Premier ministre répondant systématiquement à côté tandis qu’Andrew Marr, de plus en plus agacé, l’empêchait de répondre.
Çà et là, par intervalles, quand le vent donnait, on entendait confusément des cris, une rumeur, des espèces de râles tumultueux, qui étaient des fusillades, et des frappements sourds qui étaient des coups de canon.