A Jérusalem-Est, l'habitat traditionnel était surtout composé de maisons individuelles, construites sur des terrains privés, dans lesquelles vivaient des familles entières.
C'est pourquoi des projets de construction de routes par exemple dont les habitants peuvent avoir besoin posent problème car ils entraînent des impôts et des expropriations.
Le Waqf a coopéré tacitement avec la municipalité pour l'éviction des sans-abris et a offert le terrain à l'école, qui a été construite par la municipalité.
Des contrats de prêt sans intérêt sont établis par une banque en faveur de ressortissants koweïtiens qui ont reçu des terres de l'État pour y construire un logement.
À A-Sawaneh, une école dispensant un enseignement spécial devait être construite sur un terrain appartenant au Waqf (Fondation pieuse musulmane), où s'était installé un camp de sans-abris.
Il n'y avait pas assez de place sur le Chemin de Traverse et impossible de le mettre sous terre, comme le ministère, ce ne serait pas bon pour la santé.