Si on n'y oppose pas de frein, le cancer du terrorisme se propagera, entraînant de nouvelles pertes humaines et de nouvelles destructions dans d'autres pays.
Nous sommes véritablement les témoins d'un cancer, à savoir le terrorisme d'État perpétré par Israël contre les peuples de la région, y compris contre le peuple israélien.
C'est pourquoi, l'attention de la communauté internationale vis-à-vis du règlement au Kosovo ne doit pas faiblir si nous voulons éviter que cette province ne devienne une tumeur qui ronge l'Europe.
Le Gouvernement libanais, pour des raisons politiques qui lui appartiennent, a choisi d'affronter Israël plutôt que de s'attaquer au cancer qui occupe le corps et l'âme de son propre pays.
La réalité est que, 60 ans après que l'ONU a été créée pour s'attaquer aux conséquences révoltantes et atroces du crime de racisme, nous continuons d'être confrontés à ce cancer.
Plus le système mondial sera préparé, sans aucune exception, à faire face à la menace de la maladie qu'est le terrorisme, plus la société mondiale aura une vie longue et saine.