Paradise Papers, le grand déballage

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Plus de 13 millions de documents fuités d'un grand cabinet d'avocats international aux Bermudes. 18 mois après les , voici les : enquête réalisée par un consortium international de journalistes, immersion dans les pratiques financières de l'élite mondiale ou comment individus et multinationales dissimulent de l'argent au fisc en jouant sur les subtilités des législations nationales et internationales.

On trouve des gens qui veulent éviter de payer de l'impôt à titre personnel, ou des multinationales qui usent ces paradis fiscaux pour éluder l'impôt, pour faire de l'optimisation fiscale.

Parmi les noms qui émergent, un proche du Premier ministre canadien Justin Trudeau : Stephen Bronfman, directeur de campagne du parti libéral en 2015 et les 60 millions de dollars qu'il a placés au sein d'un trust aux îles Caïman. Une société de type fiducie. « Légale » rappelle le et liquidée l'an dernier. Y a-t-il eu cependant évasion fiscale ? La question est posée.

Côté multinationales : en Suisse. Les documents fuités mettent en lumière le lobbying caché du géant minier mondial et les flux d'argent sous forme de pots-de-vin qui ont permis d'acquérir des licences d'exploitation en République démocratique du Congo.

Enfin, une information qui pourrait intéresser le procureur Mueller dans son enquête sur les liens entre le Kremlin et l'administration Trump. Wilbur Ross, l'actuel secrétaire d'État au commerce empoche des millions de dollars avec le géant russe de la pétrochimie : , client de la société de transports maritimes dont lui, Ross, contrôle toujours un tiers du capital. c'est notamment deux proches de Poutine : l'oligarque Timchenko et son gendre. Rien d'inapproprié, insiste Ross. Voir combien de temps sa défense tiendra aux États-Unis.

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