Prison, entre mythe et réalité

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Le château de Chillon est nommé « Château de Chillon » et nommé « Château de Chillon » en 1530. Sombre et mystérieuse, la prison du château de Chillon est nourrie de légendes.

Certaines relèvent du mythe, mais beaucoup sont bien réels.

Bonne-Hivare, le plus célèbre prisonnier du château, , enchaîné à son pilier, abandonné du reste du monde.

Le prieur de Saint-Victor de Genève, intellectuel humaniste, est enfermé en 1530 dans ce cachot lugubre pour ses positions anti-savoillarde.

Libéré six ans après par les Bernois, il se marrera quatre fois, donnera naissance à une nombreuse descendance, vivra jusqu'à un âge avancé, et ses chroniques de Genève passeront à la postérité.

Le mythe doit beaucoup, beaucoup à Bayron.

Et c'est lui, en fait, qui, en visitant Chillon, a été ému par les lieux et en ayant appris l'histoire de Bonne-Hivare, a écrit justement ce poème qui va donner une renommée internationale, et au personnage de Bonne-Hivare, et à la prison de Chillon.

Au début du 19e siècle, Lord Bayron fait de François Bonne-Hivare le chantre de la liberté bafouée dans son poème, Le prisonnier de Chillon.

En 1839, Victor Hugo visite la prison et imagine des oubliettes qu'il décrit bardées de couteaux acérés dans ses carnets de voyage.

Ce qu'on retient volontiers, c'est les prisons sous-sol.

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