A défaut de capacité financière locale, la mobilisation des investissements nécessaires dans les infrastructures émettant peu de CO2 sera toujours laborieuse.
Nous sommes déjà témoins d’innovations extraordinaires dans le secteur privé, qui engageront la transition vers une économie mondiale à faible émission de carbone.
Il a attiré l'attention sur la nécessité d'orienter l'économie de son pays vers l'utilisation de technologies énergétiques utilisant peu ou pas de carbone.
L'objectif est une économie mondiale à faible émission de carbone, qui appuie les efforts de réduction des émissions et d'adaptation aux changements climatiques.
Premièrement, les technologies émettant peu de carbone sont souvent considérées comme plus onéreuses que les technologies actuelles faisant appel à des carburants fossiles.
Dans leurs communications, les Parties parlent soit de «réduction des émissions», soit de «faibles émissions de carbone» dans les stratégies ou plans proposés.
Le palladium va être utilisé pour les pots catalytiques, le nickel est utilisé pour les batteries électriques, l’aluminium est utilisé dans les technologies bas carbone.
Une agence indépendante évaluera l'empreinte carbone des produits et services et accordera des certificats de bas carbone à ceux qui sont conformes aux normes, selon un document émis par la CNDR.
A.-S.Lapix: Si la Chine est le pays qui émet le plus de gaz à effet de serre, elle est aussi capable de développer très vite et très massivement ses énergies décarbonées.
Le consommateur doit comprendre que ça coûte plus cher de produire en bas carbone et doit être capable d'accepter de payer plus cher cette alimentation bas carbone, qui va lui être profitable aussi.
Mais si nous voulons payer notre énergie à des tarifs raisonnables et ne pas dépendre de l'étranger, il nous faut toute à la fois continuer d'économiser l'énergie et d'investir dans la production d'énergie décarbonée sur notre sol.