Les océans jouent enfin un rôle de climatiseurs planétaires, ils emmagasinent presque la totalité des excès de chaleur dus à l'effet de serre mais la multiplication de leurs canicules laisse craindre que la machine ne soit détraquée.
Je vis cet anticarcasse se retourner, se redresser avec une énergie que je n'aurais jamais soupçonné dans une machine si singulièrement détraqué, et avec un regard de haine qui me paru de bonne augure.