L'auteur des contes de Canterbury oppose ici le temps des fées, du paganisme, des créatures féminines, de la sauvagerie, à la civilisation chrétienne masculine qui finit par triompher.
Et ça ne s'arrête pas là puisque le Moyen âge aussi a son propre Hercule chrétien : le Christ, lui aussi ordonnateur du monde, créateur d'ordre social, pourfendeur de l'ancien monde monstrueux du paganisme.