1.L'une des différences entre les nouvelles règles du CMB et les IFRS tient au traitement réservé à la survaleur, dont l'amortissement est encore permis par les premières.
2.Il fallait encore procéder à des adaptations majeures relatives à la communication d'informations pour évaluer le portefeuille de prêt, la survaleur, l'investissement dans les filiales, et les modifications apportées à la classification des instruments financiers.
3.En outre, les sociétés étaient tenues de ne plus amortir la survaleur, mais uniquement de la déprécier (sous réserve d'une exemption transitoire en vertu de l'IFRS 1), ce qui, dans de nombreux cas, avait un effet notable sur les états financiers.