Les faits se sont déroulés pendant seize ans avant que les autorités ne réagissent. Les trafiquants et les violeurs appartenaient à la communauté pakistanaise de la ville.
Au nom d'une conception de l'honneur et de Dieu qui les amène à abandonner leurs enfants à des adultes, souvent leurs bourreaux, car c'est à leurs violeurs qu'on unit des filles violées, et la justice valide ces tortures: elles sont légales...