R.Ferrand: Il n'est pas question d'activité obligatoire. Il faut faire en sorte qu'aucun individu ne soit laissé au bord du chemin et que, par conséquent, la situation de chacun soit examinée.
Au bout d'un mois, on observe une perte d'environ 20 % et ce qui est le plus remarquable, c'est qu'après 4 mois d'inactivité, cette baisse n'a pas évolué, elle est toujours de 20%.
En adoptant cet accord, l'Union européenne s'engage à réduire ses émissions de gaz à effets de serre pour que la température de la planète n'augmente pas de plus de 2 degrés par rapport à l'époque où l'activité humaine était moins forte.