Selon lui, les agresseurs n'ont emmené personne avec eux, mais ont tué trois personnes juste à l'extérieur du camp de transit, alors qu'ils sortaient de celui-ci.
Les femmes ont déclaré qu'elles avaient été déshabillées, qu'elles avaient subi des violences sexuelles et que certaines avaient été entraînées à l'écart, une par une, pour être violées.
Selon certaines sources, des miliciens munis de listes passent maintenant les camps de personnes déplacées au peigne fin, à la recherche d'étudiants, d'intellectuels et d'activistes, qu'ils emmènent.
3 L'auteur ajoute qu'il y a également violation de l'article 24 du Pacte à l'égard de ses six enfants qui sont privés du droit d'être élevés par leur mère naturelle.
Je suis là pour troubler, pour déstabiliser, pour désarmer les invincibles, les blindés vivants, afin qu'ils se laissent emporter par ce qu'ils ont de plus lyrique et de meilleur.
Une personne ne doit pas tenter de contraindre une autre personne à avoir des rapports sexuels avec elle ou avec quelqu'un d'autre, l'enlever ou la retenir contre sa volonté.
Ils concernent trois membres du Southern Cameroon National Council, qui ont été arrêtés par des membres de la brigade de gendarmerie nationale de Mbango et emmenés vers une destination inconnue.
3 L'auteur ajoute qu'il y a également violation de l'article 24 du Pacte à l'égard de ses six enfants qui sont privés du droit d'être élevés par leur mère naturelle.
Ces hommes ont mis la maison sens dessus dessous, violé sa sœur de 19 ans devant elle, ont roué sa mère, son père, ses frères, l'ont rouée de coups elle-même, et l'ont emmenée.
2 L'auteur indique qu'elle s'est lancée à la poursuite des militaires qui ont emmené son fils, et les a suivis alors qu'ils se dirigeaient vers le domicile de ses voisins, la famille Chihoub.
Il semblerait qu'à Atapupu, le port d'Atambua au Timor occidental, les personnes repérées par les miliciens aient été ligotées à l'arrière des camions devant servir à leur transport, ou parfois aient été tuées sur place.
5 Environ quinze jours après l'enlèvement de son fils, Mme Kimouche a appris par des policiers que son fils était emprisonné à Châteauneuf, fait non démenti par le commandant Betka devant les questions des auteurs.
5 Pour ce qui est du grief de violation de l'article 9, les informations dont le Comité est saisi montrent que le fils de l'auteur a été emmené par des agents de l'État venus le chercher chez lui.