Ce feutre pouvait donc s’obtenir par un simple foulage, opération qui, si elle diminue la souplesse de l’étoffe, augmente notamment ses propriétés conservatrices de la chaleur.
On y trouve des épiceries, où on achète alors l'essence, des garages, les dépositaires Michelin et des publicités pour des vêtements chauds, vu que les voitures n'ont ni toit ni pare-brise.
Il faudrait que cette météo dure pour l’éternité et qu’on puisse opposer à chaque jugement sur les fringues : “oui, mais c’est chaud”. Et il n’y aurait plus de débat.