Il s'agit peut-être de la figure : on roule le gateau préparé dans la farine de soja, cela rappelle un ane qui fait un tour sur la terre en soulevant la poussière.
Mon imagination surexcitée se promenait sur les plaines de neige des contrées arctiques, et j’aspirais au moment où je me roulerais sur les tapis glacés du pôle !
Il vaut mieux souffrir, saigner, pleurer, s’arracher la peau de la chair avec les ongles, passer les nuits à se tordre dans les angoisses, se ronger le ventre et l’âme.