Un détenu récemment libéré a indiqué qu'il avait été obligé de s'agenouiller, les jambes nues sur des morceaux de brique brisée, et de se tenir debout sur la pointe des pieds pendant de longues périodes.
En l'enveloppant d'un regard d'angoisse, elle implorait le Saint-Esprit, et contracta l'habitude idolâtre de dire ses oraisons agenouillée devant le perroquet.
En entendant le cri d’un noble désespoir, Charles laissa tomber des larmes sur les mains de sa cousine, qu’il saisit afin de l’empêcher de s’agenouiller.