Et l'arrestation des criminels de guerre encore en liberté servirait la justice et aiderait à refermer les plaies des victimes des crimes de guerre passés.
Le 29 janvier, les étalages des magasins situés dans la zone proche de la frontière étaient pour la plupart vides, et les forces égyptiennes ont commencé à refermer la frontière.
Leur présence continue sape l'établissement de l'état de droit, freine la réconciliation interethnique, empêche les victimes et leurs familles de refermer les blessures psychologiques et entrave l'avenir politique de la région.