– Certains croient qu'il y a une raison astronomique à l'alignement des pierres. Le positionnement des blocs permettait de déterminer les solstices d'hiver et d'été.
Les Romains se déguisaient tous les ans autour du solstice d'hiver pour fêter le dieu Saturne. Les pauvres jouaient aux riches et un homme en paille représentait le roi.
Aux temps des Qinq, l’impératrice y recevait des hommages lors de trois grandes occasions par année : à son anniversaire, au solstice d’hiver et au premier jour du calendrier lunaire.
Je lui montrai ici les deux cercles polaires, les tropiques, l'écliptique, le chemin parcouru par le Soleil, jalonné par les constellations zodiacales ; là, les colures des solstices et des équinoxes.
Lors des repas organisés à l'occasion des Saturnales, de grandes fêtes qui avaient lieu au moment du solstice d'hiver et qui rassemblaient maîtres et esclaves, les convives choisissaient entre eux un Roi.
Cependant le Duncan filait sur cette route des Vespuce et des Magellan avec une rapidité merveilleuse. Le 15 septembre, il coupa le tropique du Capricorne, et le cap fut dirigé vers l’entrée du célèbre détroit.
Ce cercle correspond à la limite à partir de laquelle le soleil ne se couche pas lors du solstice d’été le 21 juin et ne se lève plus au solstice d’hiver le 21 décembre .
Mais étonnamment, les deux mots n’appartiennent pas à la même famille : brume évoque le jour le plus court de l’année, au solstice d’hiver. Le mot brume vient du latin brevissima dies : le jour le plus court.