Ces essaims particulièrement gros dévorent l'équivalent de 400 000 tonnes de nourriture par jour, ravageant les moyens d'existence des populations rurales et réduisant, par ricochet, les stocks alimentaires.
Adossé au mur, Bouteloup frottait machinalement ses épaules, avec l’ahurissement d’un bon diable, dont on a mangé les économies, et qui s’étonne d’avoir à se serrer le ventre.
Il fallut bien admettre alors que, si le naufragé était mort, il ne restait plus maintenant aucune trace de son cadavre, et que quelque fauve, sans doute, l’avait dévoré jusqu’au dernier ossement.