Nous sommes en butte à un paradoxe : tandis que cette perspective reste imprévisible, la création d'un système de contrôle international est bien avancée.
Il convenait de s'attaquer résolument au paradoxe qui consistait d'une part à aider les pays à réduire leur pauvreté et de l'autre à verser des subventions agricoles.
Il était paradoxal que les pays en développement souhaitent ardemment attirer des investissements étrangers directs alors qu'ils étaient les plus affectés par les activités des sociétés transnationales.
L'Ensemble de principes et de règles, adopté presque 21 ans plus tôt, demeurait paradoxalement le seul instrument multilatéral universel en vigueur dans le domaine de la concurrence.
La Présidente du Centre international de recherche sur les femmes a soumis un document intitulé « Women, Girls and HIV : The paradox of low risk and high vulnerability ».
Pour terminer, ma délégation souhaite à nouveau mettre l'accent sur le paradoxe du terrorisme, car c'est un élément qu'il est indispensable de comprendre si nous voulons être efficaces.
En raison de notre propre expérience en tant que petit État insulaire en développement confronté à des vulnérabilités économiques, environnementales et sociales, nous connaissons l'importance de ce paradoxe.
Il y a un cruel paradoxe dans le rapport entre les subventions que les pays riches accordent à leurs secteurs agricoles et l'assistance qu'ils s'offrent les uns les autres.
Son dernier roman paru en 2009, Le Paradoxe de Vasalis est le premier tome d'une série d'un genre nouveau, qui mêle art et suspense, érudition et aventure, histoire et modernité.
Aussi constate-t-on à court terme une situation paradoxale dans laquelle la participation accrue des femmes à la population active favorise une aggravation des disparités entre hommes et femmes sur le marché du travail.
Trois mois ont passé et il devient évident que l'idée selon laquelle il y a un lien direct et sans équivoque entre la situation financière de l'Organisation et le barème des contributions est fallacieuse.
Il y a quelque chose de paradoxal de voir que, d'un côté, les États soutiennent clairement la stratégie de sortie et que, d'un autre côté, ils ralentissent son application par leurs retards de paiement.