Face à l'émotion mondiale suscitée par ce rapt le gouvernement nigérian, pourtant traditionnellement hostile aux ingérences étrangères, a accepté l'aide internationale.
Les protestataires ont crié des slogans hostiles au Premier ministre Erdogan, malgré les excuses adressées à la mi-journée par son vice-Premier ministre.
Comme chaque vendredi et comme chaque week-end depuis la prise de pouvoir du général al-Burhan, les manifestants ont crié des slogans hostiles aux militaires.
Près de 30.000 personnes, des slogans hostiles à la Cédéao, la Communauté des Etats de l'Afrique de l'Ouest, et des menaces contre les pays occidentaux.