1.Il s'agissait de simples unités d'infanterie chargées de jouer le rôle de forces d'occupation (ce qu'elles font à présent à titre officiel, aux termes de leur « mandat reconnu »).
2.Bien que n'ayant pu déterminer l'effectif exact de la force, la MINUEE estime qu'elle se compose d'un certain nombre de divisions d'infanterie et de divisions motorisées équipées, entre autres, d'armes lourdes offensives et défensives.
3.Environ 700 soldats (de diverses unités de la 4e Division d'infanterie) ont été transférés d'Ed Damazin et de Juba au Darfour par voie aérienne, avec leurs armes individuelles à en croire les informations dont on dispose.
4.Le commandant de la région occidentale est formellement à la tête de deux divisions régulières, la 6e division d'infanterie basée à El-Fasher (pour le Darfour-Nord et le Darfour-Ouest) et la 16e division d'infanterie basée à Nyala (au Darfour-Sud).
5.L'option B consisterait en une force de la taille d'une division d'infanterie standard, composée de neuf bataillons d'infanterie, deux ou trois bataillons étant déployés dans chacun des secteurs au Tchad et deux compagnies d'infanterie étant dépêchées en République centrafricaine, d'une compagnie de reconnaissance et d'un bataillon léger de réserve, appuyée par une composante aérienne militaire forte de neuf hélicoptères de transport, de deux hélicoptères d'observation armés, d'engins sans pilote et de deux avions d'observation.
2.Le Premier ministre a par ailleurs démis de ses fonctions le brigadier général Hidayat Abdul Rahim, commandant de la 3e division d'infanterie de l'armée.