Sri Lanka affectait les fonds publics surtout aux hôpitaux et aux malades hospitalisés, et veillait à garantir l'accès des pauvres aux services de santé publics.
Il incombe à l'établissement hospitalier d'acquérir les récipients et sacs nécessaires au traitement quotidien des déchets solides, mais il n'appartient pas aux hôpitaux de conserver les déchets.
L'agrément de cet organisme permet aux hôpitaux de continuer de recevoir les fonds Medicare et d'attirer les organes de subvention, les donateurs et des professionnels hautement qualifiés.
En outre, le Gouvernement a accru les subventions versées aux hôpitaux gérés par des institutions religieuses, les portant de 7 500 shillings tanzaniens par lit et par an.
Le paragraphe 11 (1) de la loi sur l'arbitrage des conflits de travail dans les hôpitaux interdit aux employés d'hôpitaux ou de maisons de santé de faire la grève.
Pour les résidents de la « zone fermée », les contacts avec la famille, ainsi que l'accès aux hôpitaux, aux écoles, aux marchés et aux emplois en Cisjordanie sont devenus difficiles.
Il s'agit avant tout, dans un premier temps, de développer un réseau de communications reliant les zones reculées aux hôpitaux de district afin qu'elles puissent obtenir rapidement des conseils.
La loi relative aux services de santé spécialisés s'est substituée à la loi relative aux hôpitaux, ainsi qu'aux dispositions administratives de la précédente loi relative aux soins de santé mentale.