Des programmes de sensibilisation accrue à la grippe aviaire et humaine sont également centrés sur les peuples autochtones vivant dans les zones frontalières.
Il s'agit notamment des espèces marines (aviaires et aquatiques) qui se déplacent entre des zones relevant d'une juridiction nationale et la haute mer.
Avec 3,5 millions d'individus, la population d’oiseaux reste stable après une importante régression induite par les contraintes imposées par la crise de l’influenza aviaire.
À la fin de la table ronde, David Nabarro, Coordonnateur principal du système des Nations Unies pour les grippes aviaire et humaine a résumé les débats.
En outre, les risques d'épidémie de grippe aviaire et de fièvre de la vallée du Rift dans la sous-région, ainsi que de paludisme, demeurent une menace.
De nouvelles maladies comme le syndrome respiratoire aigu sévère et la grippe aviaire indiquent que les frontières nationales n'offrent qu'une maigre protection contre ces pandémies qui prolifèrent.