En toile de fond de cette violence verbale politique s'incruste une violence quotidienne faite de braquages, d'assassinats, de coups mortels, de cambriolages.
Les braquages de véhicule, vols à main armée et activités criminelles visant le personnel humanitaire, qu'il soit étranger ou non, demeurent fréquents.
Nous sommes particulièrement préoccupés par le banditisme, le braquage de véhicules et les attaques armées dont les travailleurs humanitaires sont victimes au Darfour.
À Bangui même, des actes de banditisme armé (braquages, vols) ont été enregistrés à plusieurs reprises, illustrant ainsi la situation de prolifération des armes illégalement détenues.
Nous condamnons les tentatives des extrémistes visant à renverser le Gouvernement fédéral de transition ainsi que le braquage et le pillage des bureaux de l'ONU en Somalie.
Les « déportés » sont des Haïtiens jugés et condamnés aux États-Unis pour des faits de grand banditisme, trafic de drogues, braquage, viol, etc., et ayant purgé leur peine.
Par ailleurs, le taux de braquages ou de vols à main armée avait sensiblement été réduit grâce au programme DDR conduit par le Gouvernement avec l'appui de la communauté internationale.
Des exactions et exécutions sommaires imputables aux forces de l'ordre, ainsi que des actes de braquage et de vol à mains armées, ont continué d'être perpétrés, notamment dans la capitale.
L'augmentation des vols à main armée et des braquages des véhicules des ONG par des éléments liés aux groupes rebelles et par des malfaiteurs a créé un sentiment généralisé d'insécurité.
Le pays a connu successivement un spectaculaire braquage de deux banques à Bata et une tentative de débarquement des hommes puissamment armés qui ont attaqué le palais de la présidence de la République.
Ce banditisme qui n'épargne ni les campagnes, ni les villes encore moins les routes, se manifeste sous plusieurs formes : enlèvement des véhicules, vols à main armée, braquages des usagers de la route.